SAGESSE OUBLIÉE
《 EN VOULANT LE SUPERFLU,
ON PERD LE NÉCESSAIRE 》
L'ÉCLAT DE LA SAGESSE OUBLIÉE
À la quête de l'or, nous délaissons l'argent,
Le superflu en tête, le cœur n'est plus fervent.
Dans l'ombre du désir se perd l'essentiel
Comme un navire en mer qui manque l'étincelle.
Les richesses éphémères brillent et nous aveuglent,
Marquant les trésors vrais qui pourtant nous régulent.
En voulant tout avoir, nous laissons échapper
Les bonheurs simples que la vie veut nous donner.
Le nécessaire, discret, se cache en nos vies,
Un sourire, une main, un amour inouï.
Mais dans la course folle, nous oublions souvent
Que l'abondance n'est rien sans le souffle du vent.
Loin des futilités, retrouvons la sagesse,
Apprécions chaque instant, sans jamais de faiblesse
Car en voulant le trop, nous perdons l'essentiel ,
L'éclat de nos vies et de notre bien réel.
MARIE SYLVIE
https://mariesylvie.blogspot.com
décider de soi même quel est l'essentiel ou le superflu relève de l'impossible...il faut se fixer un exemple et ne plus en sortir...l'essentiel du bouddhiste est une petite mort pour l'épicurien qui ne conçoit pas qu'on puisse aimer la vie sans en profiter pleinement sans céder à ce qu'il considère comme le superflu...pas facile tout ça !
RépondreSupprimerBonsoir chère "aminôtre",
RépondreSupprimerTout à fait et l'essentiel du bonheur est celui que nous apprécions ici et maintenant.
Quant à l'abondance, large au sens premier et figuré, en attendant d'en consommer les prochains fruits de l'été, offrons-nous la possibilité de l'obtenir dans son immatérialité tels que la joie, la paix intérieure, l'épanouissement de nos cœur(s) à cœur(s), en ces correspondances humaines qui nous unissent.
Merci à toi chère Marie de nous permettre de lire avec sérénité ces moments forts où ton inspiration tisse de très jolis vers poétiques coulant comme une suave musique.
Tendre amitié, douce soirée à toi, à demain.