LE PEINTRE ET L'OISEAU


 ATELIER 248 , SUJET N°2 

Écrire un texte avec les mots finissant par  "dre" .

   



Dans un cadre doré, un peintre tentait de joindre les couleurs pour peindre un paysage idyllique. 

Mais ses pinceaux semblaient l'abandonner, et ses couleurs ne parvenaient pas à rendre  la beauté qu'il avait en tête. 

Déçu, il baissa les yeux et vit  un oiseau sur le rebord de la fenêtre. 


L'oiseau, un petit passereau,  chanta une mélodie douce et claire. Le peintre leva les yeux,  surpris. 

Il observa l'oiseau qui bondissait de branche en branche puis s'envola, laissant derrière lui un petit nuage de plumes. 


Une idée lui vint alors. Il prit un pinceau fin et commença à peindre  les plumes de l'oiseau, une à une. Il les rendit légères, aériennes, comme si elles flottaient dans les airs. 

Puis, il ajouta quelques touches de couleurs vives pour représenter le ciel et les arbres. 

Quand il leva enfin les yeux sur sa toile, il fut émerveillé . Son tableau était vivant, rempli de lumière et de poésie.

Il avait enfin trouvé l'inspiration en observant la nature. 


Morale de cette fable :

L'inspiration peut venir des endroits les plus inattendus.

La simplicité peut parfois être plus belle que la complexité. 

En observant la nature, nous pouvons apprendre beaucoup sur l'art. 

                   Marie Sylvie 


             ☆☆☆☆☆☆☆☆☆☆


LE PEINTRE ET L'OISEAU : UNE LÉGENDE ÉTERNELLE. 


Dans un atelier baigné de lumière douce,  un peintre se débattait avec sa toile. Les couleurs,  pourtant si vives dans leurs tubes , semblaient ternes sur la toile. 

Il avait tenter de peindre des paysages grandioses,  des portraits émouvants mais rien ne le satisfaisait. Il se sentait comme un oiseau en cage , incapable de s'envoler vers les sommets de l'art. 


Un jour,  alors qu'il était plongé dans ses pensées , il entendit un doux gazouillis .

Il se leva et s'approcha de la fenêtre. 

Un petit oiseau, aux plumes d'un bleu éclatant,  était perché sur le rebord. 

Ses yeux pétillaient de vie et son chant était une mélodie pure et joyeuse. 

Le peintre observa l'oiseau avec fascination. 

Il vit comment il se déplaçait avec grâce,  comment il jouait avec les rayons du soleil. 

Une idée commença à germer dans l'esprit du peintre. Il prit un pinceau fin et délicat, et commença à esquisser l'oiseau sur sa toile. 

Il captura la légèreté de ses mouvements,  la brillance de ses plumes,  et la joie qui émanait de lui. Au fur et à mesure qu'il peignait,  il se sentait de plus en plus en paix. 

Il réalisait que l'art n'était pas seulement une question de technique mais aussi de sensibilité et d'émotion. 

Lorsque le tableau fut terminé, le peintre le contempla longuement. Il y voyait non seulement l'image d'un oiseau mais aussi un reflet de lui-même. Il avait enfin trouvé sa voie, son style. 

Il avait apprit à regarder le monde avec de nouveaux yeux, à trouver la beauté dans les petites choses. 


A partir de ce jour là, le peintre ne cessa jamais de peindre . Il continua à observer la nature,  à écouter les oiseaux et à chercher l'inspiration dans tout ce qui l'entourait .

Ses tableaux devinrent de plus en plus célèbres et des collectionneurs du monde entier venaient admirer son talent. 

Mais le peintre ne se lassait jamais de peindre cet oiseau,  ce symbole de liberté et d'inspiration. 


Morale de cette fable :

L'inspiration peut naître de la rencontre avec la nature, de l'observation des plus petites créatures .

L'art ne se limite pas seulement à la technique mais elle est aussi une expression de l'âme. 

Et parfois, pour créer une œuvre d'art véritable, il suffit d'ouvrir son cœur et de laisser la beauté du monde s'y inscrire. 

                          Marie Sylvie 




















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