ENFANT DE LA RUE
ENFANT DE LA RUE
Je suis l'enfant de la rue, le cœur brisé,
Les murs de ma maison, une prison oppressée.
Les coups pleuvent, les mots me lacèrent,
Je fuis loin de cet enfer, je déserte.
Enfant de la rue, je suis libre enfin,
Loin des regards noirs, loin du chagrin.
Le monde est vaste, je le découvre seule,
Mais dans mon cœur, un espoir brûle.
Je dors sous les murs, je mange des miettes,
Le froid me mord, la faim me ronge les tripes.
Mais la liberté a un goût amer,
Préalable à l'amour qui se transforme en enfer.
Enfant de la rue, je suis libre enfin,
Loin des regards noirs, loin du chagrin.
Le monde est vaste, je le découvre seule,
Mais dans mon cœur, un espoir brûle.
Je rêve d'un toit, d'une famille aimante,
D'un avenir meilleur, loin de cette souffrance.
Je sais que la route sera longue et difficile,
Mais je ne baisserai pas les bras, je serai invincible.
Enfant de la rue, je suis libre enfin,
Loin des regards noirs, loin du chagrin.
Le monde est vaste, je le découvre seule,
Mais dans mon cœur, un espoir brûle.
MARIE SYLVIE
admirable et dramatique texte qui dit un violente vérité.
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