ÉCHOS SILENCIEUX
ÉCHOS SILENCIEUX
Dans le silence de la nuit, les ombres tombent,
Les parents se tiennent au bord de tout cela.
Leurs cœurs brisés, leurs rêves inaccomplis,
Échos silencieux de rires à jamais fligés.
Oh, petit ange partie trop tôt !
Ton absence laisse un vide, une mélodie hantée.
Dans les couloirs sacrés de la mémoire, nous pleurons
Pour l'amour qui persiste, les secrets que nous gardons.
Une balançoire d'aire de jeux se balance dans la brise,
Là où ton rire dansait autrefois parmi les arbres.
La balançoire est maintenant vide, désireuse de tenir
L'enfant qui a disparu, l'histoire non racontée.
Oh, petit ange partie trop tôt !
Ton absence laisse un vide, une mélodie hantée.
Dans les couloirs sacrés de la mémoire, nous pleurons
Pour l'amour qui persiste, les secrets que nous gardons.
Les étoiles, au-dessus, témoignent de notre douleur,
Chaque scintillement est une larme, chaque constellation un refrain.
Nous cherchons des réponses dans le ciel nocturne :
Pourquoi l'innocence a été volée et l'amour a dû mourir ?
Oh, petit ange partie trop tôt !
Ton absence laisse un vide, une mélodie hantée.
Dans les couloirs sacrés de la mémoire, nous pleurons
Pour l'amour qui persiste, les secrets que nous gardons.
Que les vents portent nos murmures jusqu'à ton âme
Alors que nous te libérons avec amour, nos cœurs entiers.
Les échos silencieux persistent mais l'amour transcende
Dans cet espace sacré où le chagrin et la grâce se mêlent.
Oh, petit ange partie trop tôt !
Ton absence laisse un vide, une mélodie hantée.
Dans les couloirs sacrés de la mémoire, nous pleurons
Pour l'amour qui persiste, les secrets que nous gardons.
MARIE SYLVIE
LE CRI D'UNE MÈRE
Dans le silence de la nuit, elle pleure,
Ses larmes comme la pluie sur la vitre brisée.
Le cœur d'une mère en morceau, son âme en profondeur
Car sa fille est perdue, à jamais marqué par la douleur.
La chambre résonne de souvenirs tus,
Une berceuse étouffée, un berceau désormais froid.
Elle s'accroche aux ombres, cherchant un réconfort
Tandis que l'obscurité tisse son cruel étau.
Oh, échos silencieux du cri d'une mère !
Quand la violence frappe et vole le ciel d'un enfant,
Son chagrin résonne à travers les couloirs vides,
Une mélodie hantée de douleur qui ne s'apaise jamais.
Elle se souvient des rires, des jeux innocents,
Comment sa fille dansait à la lumière du matin.
Mais maintenant, le soleil refuse de se lever chaque jour
Et la lune pleure, projetant des ombres dans la nuit.
Les murmures du tribunal, justice refusée,
L'accusé reste libre, un cruel coup du destin.
Le visage de sa fille gravé dans son esprit,
Un portrait d'amour transformé en fardeau tragique.
Oh, échos silencieux du cri d'une mère !
Quand la violence frappe et vole le ciel d'un enfant,
Son chagrin résonne à travers les couloirs vides,
Une mélodie hantée de douleur qui ne s'apaise jamais.
Elle rêve de tenir sa fille contre elle,
D'essuyer les larmes, de partager des secrets murmurés.
Mais la porte reste close, le silence morose
Et la douleur, comme une tempête implacable, ne s'épargne jamais.
Oh, échos silencieux du cri d'une mère !
Quand la violence frappe et vole le ciel d'un enfant,
Son chagrin résonne à travers les couloirs vides,
Une mélodie hantée de douleur qui ne s'apaise jamais.
Dans le calme de la nuit, elle chante
Un requiem pour les âmes perdues, une prière aux étoiles.
Que sa fille trouve la paix sur les ailes célestes
Tandis que les échos silencieux s'estompent dans les cicatrices de l' éternité.
MARIE SYLVIE
https://mariesylvie.blogspot.com
Très émouvant et très beau.
RépondreSupprimerTrès beaux poèmes, répondant douloureusement aux images d'An-Maî, les mots sont forts, profonds, émouvants. Merci, doux bisous.
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