POISSEUX

 

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HOMONYMES N °5

SUJET N °1 : 

ÉCRIRE UN TEXTE AVEC LES HOMONYMES :

Poids - poix - pois - pouah !

LE POÈME DE QUATRE P 

Sous le poids d'une poix épaisse et noire, 

Les petits pois rient dans un champs, histoire à voir. 

Pouah ! Dit l'enfant en les voyant éclater, 

Ces pois, sur la poix, quel drôle de ballet !

La poix, collante, attrape les pieds endormis, 

Tandis que les pois dansent sous le ciel gris. 

Pouah ! S'écrit l'enfant amusé par le sort 

Des pois et de la poix, dans ce jeu sans effort. 

Le poids de la poix, oppressant et lourd, 

Ne peut étouffer les rires des pois, jour après jour.

Pouah ! Crie l'enfant en éclatant de joie 

Car même dans la poix, il trouve son émoi. 

MARIE SYLVIE 

☆☆☆

SUJET N °2 :

ÉCRIRE UN TEXTE AVEC LE MOT POISSEUX 

ET CEUX QUI VOUS SONT VENUS À L'ESPRIT :

LE POÈME DU POISSEUX 

Le jour se lève, un ciel couvert, pluvieux, 

Un sentiment gluant, tout semble poisseux. 

Le sol collant sous mes pas hésitants 

Rappelle la lourdeur des instants pesants. 

Les gouttes d'une pluie éternellement grises

Emprisonnent l'air dans une brume mise. 

Comme du goudron noirci, épais et gras, 

Tout ce qui m'entoure semble poisseux, là-bas.

Le vent souffle, chargé de lourds secrets,

De murmures collants, de rumeurs discrètes. 

Chaque feuille, chaque branche, enchevêtrée, 

Porte le poids du jour, poisseux et contrit. 

Le passé revient, souvenir encrassé,

Poisseux comme du goudron sur le pavé. 

Les erreurs, les regrets, l'ombre du doute, 

Accrochent à moi leur poisse, sans aucune route. 

Mais dans cette épaisseur, cette poisse fatale, 

Luit une étincelle, fragile, infernale. 

Un éclat de lumière, une chance d'évasion,  

Détachant les chaînes, brisant les illusions. 

Poisseux est le monde, mais l'espoir persiste 

Dans chaque rayon qui brise la piste. 

La poisse peut liée mais jamais retenir

Le cœur qui croit encore, prêt à s'ouvrir. 

MARIE SYLVIE 

☆☆☆

SUJET N ° 3:

ÉCRIRE UN ACROSTICHE AVEC LE MOT : 

POISSEUX 

Plongeant dans l'obscurité du jour,

Ombres s'étirent, lourdes de velours.

Il marche, le cœur rempli de lourdeurs,

Sans fin, les doutes, les peurs,  les malheurs. 

Soudain une lueur dans la nuit sombre,

Espoir fragile qui doucement encombre.

Un pas après l'autre, vers la lumière,  

Xénon , éblouissant la voie entière. 

MARIE SYLVIE 

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